Simon Gerovich, le PDG de la société d'investissement japonaise Metaplanet, a déclaré que l'entreprise espère porter ses avoirs en bitcoins à 10 000 BTC d'ici 2025, ce qui représente une augmentation de plus de 5 fois par rapport à son stock actuel.
Gerovich a déclaré dimanche sur la plateforme sociale X que Metaplanet prévoit d'augmenter ses réserves de bitcoins à 10 000 BTC en « utilisant les outils du marché des capitaux les plus efficaces à notre disposition ». L'entreprise détient actuellement environ 1 761,98 BTC (d'une valeur d'environ 175,4 millions de dollars), avec un coût total de 20,872 milliards de yens.
Les autres objectifs de Metaplanet incluent : améliorer la transparence et la participation des actionnaires grâce à de nouvelles initiatives, utiliser ses partenariats pour promouvoir l'adoption du bitcoin au Japon et dans le monde, et explorer des opportunités innovantes pour accroître l'influence de Metaplanet dans l'écosystème japonais et bitcoin.
Bonne année à nos précieux actionnaires ! Alors que nous entrons en 2025, je ne pourrais pas être plus enthousiaste à l'idée de ce qui attend Metaplanet. L'année dernière a été transformative, alors que nous avons battu des records, élargi notre trésorerie en bitcoins et renforcé notre position en tant que leader asiatique de la Trésorerie Bitcoin… pic.twitter.com/K2HsOS8TaZ
— Simon Gerovich (@gerovich) 5 janvier 2025
Metaplanet a récemment acheté des bitcoins fin décembre, avec un montant acquis de 619,7 BTC. Avant cet achat, l'entreprise avait levé 9,5 milliards de yens (606 millions de dollars) en émettant deux séries d'obligations au cours du même mois.
Metaplanet a opéré un changement stratégique dans sa stratégie de gestion financière en avril 2024, en adoptant le bitcoin comme actif de réserve stratégique pour couvrir le fardeau de la dette japonaise et la volatilité du yen qui en résulte.
Selon les données de Yahoo Finance, l'action de Metaplanet a clôturé en hausse de 2,73 % lundi, à 3 575 yens, avec une augmentation de 1947 % prévue pour 2024.
Source
Source
