Hier, l'hélicoptère présidentiel iranien s'est écrasé, avec quasiment aucune possibilité de survie. C'est fatal à la situation locale.
Si la défaillance mécanique est exclue et que des forces extérieures sont impliquées, le sentiment national iranien atteindra son apogée.
À cette époque, les acteurs du cercle monétaire feraient mieux de se concentrer sur l'évitement des risques.