Avant cette réunion des actionnaires, le 'bull' du Bitcoin, Saylor, a directement envoyé un message à Satya Nadella, le PDG de Microsoft, sur X (anciennement Twitter), disant à peu près : 'Salut @SatyaNadella, si tu veux vraiment gagner le prochain trillion de dollars, appelle-moi vite !' On a l'impression que ton ton était comme : 'Ne rate pas ma chance en or, ne laisse pas les autres en profiter !'

Cependant, les actionnaires de Microsoft n'ont pas soutenu Bitcoin avec l'enthousiasme espéré par Saylor.

Lors de la réunion, Microsoft a conseillé aux actionnaires de rejeter cette proposition. Les résultats du vote sont tombés, et la proposition n'a pas obtenu le soutien de la majorité des actionnaires. Les sociétés de conseil en vote Glass Lewis et Institutional Shareholder Services ont également conseillé aux actionnaires de 'jeter un seau d'eau froide' sur cette proposition. Il semble que les efforts de 'télévente' de Saylor n'aient pas convaincu les actionnaires.

Le directeur financier de Microsoft, Amy Hood, a également déclaré lors de l'assemblée des actionnaires que l'entreprise acceptait les paiements en cryptomonnaie depuis 2014 et qu'elle suivait de près l'évolution des cryptomonnaies.

Quant au prix des actions de Microsoft, il a augmenté d'environ 19 % cette année. Bien que ce soit bien, comparé à MicroStrategy qui détient des bitcoins, c'est presque 'un petit joueur face à un grand'.

Selon Forbes, la fortune nette de Saylor a gonflé à 9,1 milliards de dollars, principalement grâce à sa possession de MicroStrategy.

Les rendements des investissements en Bitcoin de MicroStrategy ont déjà dépassé l'augmentation des actions de Microsoft. On dirait que le plan de 'l'attrape-riches' de Saylor, Microsoft n'est pas encore prêt à y participer !

Question interactive : Pensez-vous que Microsoft va vraiment 'accueillir' Bitcoin un jour ? Microsoft peut-il se débarrasser de l'attrait de Bitcoin et continuer à se concentrer sur ses activités traditionnelles ?

La section des commentaires vous attend pour discuter, qui sait si le prochain marché à mille milliards n'est pas juste devant nos yeux !