Je viens d'entendre une déclaration intéressante dans la section commentaires : la raison pour laquelle l'immobilier ne peut pas décoller est à cause de la baisse soudaine de la population.
Cette affirmation est certainement vraie, mais elle n’est qu’une partie du facteur. Je suis d'accord avec le concept centré sur l'être humain, mais le fonctionnement normal de l'ensemble de la société et une croissance économique durable ne sont pas uniquement déterminés par une population importante. Il y a 30 ans, la population chinoise n'était pas si nombreuse, sinon la planification familiale n'aurait pas été nécessaire. Le véritable maintien de la croissance sociale et économique dépend du système !
On peut en déduire une logique (je ne suis pas un expert, soyez indulgent) :
À l’heure actuelle, les coûts d’investissement et les dépenses de consommation sont devenus plus élevés, et les exportations ne peuvent pas augmenter ; les salaires et les revenus n’ont pas changé ; la protection médicale et les retraites n’ont pas suivi, et la pression sur l’emploi est forte.
Verrouiller des biens immobiliers équivaut à bloquer plus de 200 sources écologiques, la monnaie du marché ne peut donc pas circuler, et lorsque le paiement n'est pas proportionnel aux revenus, ces types sociaux (industrie et commerce, fiscalité, écoles, hôpitaux, banques, centres commerciaux, grandes marchands) L’artefact devient un vaisseau suceur de sang.
Un autre facteur majeur est que les fonds vont s’accumuler plus rapidement pour constituer des ressources. Le chiffre de 900 milliards d’il y a quelque temps est une image très réaliste.
Lorsque la majorité des fonds publics est concentrée sur un petit nombre de personnes, dans des circonstances de répartition inégale, l'économie de marché dépérit même si l'économie globale reste inchangée. Tous les horizons sont incapables de créer du sang et de circuler. Avec la mise en place du cercle économique urbanisé, le coût de la vie urbaine pour la plupart des gens est plus élevé et il leur est difficile de vivre. .
Par conséquent, les jeunes de 80 à 90 ans sont destinés à être une génération de taureaux et de chevaux. C'est bien de s'efforcer de progresser, c'est bien de l'endurer, ou c'est bien de s'allonger.
Bref, mieux vaut vivre que mourir !