La SEC américaine facilite les rapports cryptographiques pour les banques et les maisons de courtage 🚨
règle comptable, la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis propose désormais un certain assouplissement en matière de reporting cryptographique pour les banques et les maisons de courtage.
La SEC autorise les banques à exclure les avoirs cryptographiques des bilans
Le régulateur américain des valeurs mobilières a désormais ouvert une nouvelle voie permettant aux banques et aux maisons de courtage d’éviter de déclarer les avoirs cryptographiques de leurs clients dans leurs bilans. Toutefois, les banques doivent veiller à atténuer tous les risques associés. Il s’agit d’une décision bienvenue en réponse aux directives controversées sur la comptabilité cryptographique qui font l’objet d’un débat animé au Congrès.
Le personnel de la SEC a déjà commencé à fournir des conseils sur certaines dispositions qui n'obligent pas à déclarer le passif des avoirs cryptographiques dans les bilans, a déclaré une source de la SEC proche du dossier.
Plusieurs acteurs bancaires de premier plan ont consulté la SEC américaine au cours de l'année dernière. Ils ont également reçu l’autorisation de contourner la déclaration du bilan tout en s’assurant de la protection des actifs des clients en cas de faillite.
La SEC a exigé des mesures supplémentaires de la part de la banque, notamment des mesures de protection internes pour renforcer la protection de ces avoirs, a indiqué la source à Bloomberg.
Autres sociétés de cryptographie susceptibles de bénéficier des règles La position de la SEC sur la comptabilité cryptographique pourrait être applicable à plusieurs autres sociétés de cryptographie aux États-Unis offrant des services similaires aux détenteurs de cryptographie. Les prêteurs ont fait valoir que les règles comptables strictes les empêchaient d’offrir des services de cryptographie, car des bilans plus importants entraîneraient des exigences de fonds propres de la part des banques, et non de la SEC.
Les groupes professionnels du secteur bancaire et financier ont plaidé pour que le Congrès annule les directives du personnel, qui fonctionnent comme une règle d'agence. Jeudi, la Chambre n'est pas parvenue à contourner le veto présidentiel sur une mesure visant à abroger le Staff Accounting Bulletin 121, laissant ainsi la règle comptable telle qu'elle est.