Dans l'ombre feutrée d'un studio où se croisent pensées et controverses, un homme à la renommée éclatante, Elon Musk, s'exprima d'une voix grave. Ses paroles, telles des prophéties funestes, s'élancèrent dans l'air comme des oiseaux de mauvais augure.
« L'Amérique, » dit-il, « porte sur ses épaules le fardeau d'une dette titanesque, écrasante, pareille à ces montagnes prêtes à s'effondrer. Trente-six trillions, un chiffre si vaste qu'il semble se perdre dans l'infini, telle une mer sans rivage. »
Et, poursuivant son discours sur le destin du dollar, cette monnaie jadis éclatante, il ajouta : « Si rien n'est fait, ce symbole de richesse et de pouvoir ne sera plus qu'un spectre, une ombre effacée sur le grand tableau de l'histoire. »
Face à cette vision d'un avenir incertain, il appela à l'action, à un sursaut vital. Ce n'était pas là l'exagération d'un rêveur, mais le cri sincère d'un homme qui, des cimes de la fortune, contemplait les abîmes où pourrait sombrer le monde.