Crypto Leaders Redirect Focus to the UK Labour Party Ahead of Elections

CryptoNews · 2024-06-12T11:03:04.000Z

As the United Kingdom prepares for the snap election on July 4, the cryptocurrency industry is strategically shifting its attention toward the Labour Party, led by Keir Starmer. This redirection, as reported by Bloomberg, comes amid widespread uncertainty regarding the future of crypto regulation in the U.K., following Prime Minister Rishi Sunak’s surprise call for an early election. Recent events have underscored the crypto sector’s proactive efforts to build strong ties with British lawmakers. For instance, just days before Sunak’s announcement, crypto executives gathered on a House of Commons terrace at an event organized by Coinbase, demonstrating the industry’s ongoing bid to influence U.K. politics. While representatives from both major political parties attended, the crypto sector has increasingly targeted the Labour Party due to its substantial lead in the polls. The U.K. crypto regulatory environment remains somewhat fragmented. The Financial Conduct Authority (FCA) has imposed strict regulations, such as banning U.K. firms from offering crypto derivatives and Exchange Traded Notes (ETNs) to retail consumers. These measures aim to protect consumers and mitigate potential harm. However, the FCA permits professional investors, including investment firms and credit institutions, to engage with these products under specific conditions. You might also like: BTC ETF outflows reach $200m ahead of crucial Fed inflation data Currently, the U.K.’s regulatory framework for cryptoassets is limited, with the FCA overseeing anti-money laundering (AML) and counter-terrorism financing (CFT) regulations. Crypto asset service providers must register with the FCA and implement robust AML and CFT measures, including KYC and CDD procedures. Additionally, the FCA has published a discussion paper on regulating fiat-backed stablecoins, aiming to align their regulatory standards with traditional financial instruments while considering their unique risks. Given these regulatory challenges and the upcoming election, the crypto industry keenly focuses on Labour’s potential policies. Although Starmer has not explicitly addressed his stance on cryptocurrencies, Labour’s consistent lead in the polls has driven the industry to prepare for a possible shift in political power. The industry has engaged with key Labour figures such as Rachel Reeves, Labour’s shadow chancellor, and Tulip Siddiq, Shadow City Minister, anticipating that they may spearhead efforts to rejuvenate London’s status as a global financial center post-Brexit. In January, Coinbase hosted a breakfast roundtable with Reeves at the World Economic Forum, highlighting the industry’s strategic engagement with Labour leadership. Executives from major venture capital firms and fintech companies participated in these discussions, reflecting the high stakes for the crypto sector. Beyond high-level engagements, the crypto industry is also focusing on grassroots outreach in Labour strongholds. This shift in strategy aims to demonstrate the tangible benefits of digital assets for everyday people, moving away from a purely market-focused narrative. Despite the industry’s efforts, the U.K. still lags behind other financial centers in implementing comprehensive crypto regulations. The European Union has adopted extensive crypto legislation, expected to implement MiCA this month. In contrast, the U.K. relies on a patchwork of rules primarily enforced by the FCA. The U.K. Treasury’s plans, outlined in early 2022, propose regulating digital assets similarly to traditional financial services, but progress has been slow. The Treasury further proposed a regulatory overhaul this year. Read more: US government attempts to seize $200k in Tether that was part of pig-butchering crypto scam

Alors que le Royaume-Uni se prépare aux élections anticipées du 4 juillet, l’industrie des cryptomonnaies tourne stratégiquement son attention vers le Parti travailliste, dirigé par Keir Starmer. 
Cette réorientation, comme l'a rapporté Bloomberg, intervient dans un contexte d'incertitude généralisée quant à l'avenir de la réglementation de la cryptographie au Royaume-Uni, à la suite de l'appel surprise du Premier ministre Rishi Sunak à des élections anticipées.
Les événements récents ont souligné les efforts proactifs du secteur de la cryptographie pour établir des liens solides avec les législateurs britanniques. Par exemple, quelques jours seulement avant l’annonce de Sunak, des responsables de la cryptographie se sont réunis sur une terrasse de la Chambre des communes lors d’un événement organisé par Coinbase, démontrant la tentative continue de l’industrie d’influencer la politique britannique. 
Alors que des représentants des deux principaux partis politiques étaient présents, le secteur de la cryptographie cible de plus en plus le Parti travailliste en raison de son avance substantielle dans les sondages.
L’environnement réglementaire britannique en matière de cryptographie reste quelque peu fragmenté. La Financial Conduct Authority (FCA) a imposé des réglementations strictes, telles que l’interdiction aux entreprises britanniques de proposer des dérivés cryptographiques et des billets négociés en bourse (ETN) aux consommateurs de détail. 
Ces mesures visent à protéger les consommateurs et à atténuer les dommages potentiels. Cependant, la FCA autorise les investisseurs professionnels, y compris les entreprises d'investissement et les établissements de crédit, à s'engager dans ces produits sous certaines conditions.
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Actuellement, le cadre réglementaire du Royaume-Uni pour les crypto-actifs est limité, la FCA supervisant les réglementations en matière de lutte contre le blanchiment d'argent (AML) et le financement du terrorisme (CFT). Les fournisseurs de services d’actifs cryptographiques doivent s’inscrire auprès de la FCA et mettre en œuvre des mesures robustes de LBC et de CFT, y compris des procédures KYC et CDD. 
En outre, la FCA a publié un document de discussion sur la réglementation des pièces stables adossées à des monnaies fiduciaires, visant à aligner leurs normes réglementaires sur les instruments financiers traditionnels tout en tenant compte de leurs risques uniques.
Compte tenu de ces défis réglementaires et des élections à venir, l’industrie de la cryptographie se concentre vivement sur les politiques potentielles du parti travailliste. Bien que Starmer n’ait pas explicitement exprimé sa position sur les crypto-monnaies, l’avance constante du Labour dans les sondages a poussé l’industrie à se préparer à un éventuel changement de pouvoir politique. 
L’industrie a collaboré avec des personnalités travaillistes clés telles que Rachel Reeves, chancelière fantôme du Labour, et Tulip Siddiq, ministre de la Ville fantôme, dans l’espoir qu’elles pourraient être le fer de lance des efforts visant à rajeunir le statut de Londres en tant que centre financier mondial après le Brexit.
En janvier, Coinbase a organisé un petit-déjeuner table ronde avec Reeves au Forum économique mondial, soulignant l'engagement stratégique de l'industrie avec les dirigeants travaillistes. Des dirigeants de grandes sociétés de capital-risque et de sociétés de technologie financière ont participé à ces discussions, reflétant les enjeux élevés pour le secteur de la cryptographie. 
Au-delà des engagements de haut niveau, l’industrie de la cryptographie se concentre également sur la sensibilisation populaire dans les bastions travaillistes. Ce changement de stratégie vise à démontrer les avantages tangibles des actifs numériques pour les citoyens ordinaires, en s’éloignant d’un discours purement axé sur le marché. 
Malgré les efforts du secteur, le Royaume-Uni est toujours à la traîne par rapport aux autres centres financiers dans la mise en œuvre de réglementations complètes en matière de cryptographie. L’Union européenne a adopté une vaste législation sur la cryptographie, qui devrait mettre en œuvre MiCA ce mois-ci. 
En revanche, le Royaume-Uni s’appuie sur une mosaïque de règles principalement appliquées par la FCA. Les plans du Trésor britannique, présentés début 2022, proposent de réglementer les actifs numériques de la même manière que les services financiers traditionnels, mais les progrès ont été lents. Le Trésor a en outre proposé une refonte de la réglementation cette année.
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Les dirigeants de la crypto redirigent leur attention vers le parti travailliste britannique avant les élections

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