La tendance est indubitable. Les banques centrales commencent à assouplir leurs politiques monétaires. C’est le moment d’investir massivement dans le Bitcoin et les altcoins.

Au centre de la critique de Hayes se trouve la gestion du yen japonais par le G7, qui, selon lui, est erronée.

Hayes avait précédemment suggéré que la Réserve fédérale américaine (Fed) échange des quantités illimitées de dollars nouvellement imprimés avec la Banque du Japon (BOJ) contre du yen. Selon lui, cette décision donnerait au ministère japonais des Finances des ressources illimitées en dollars pour acheter du yen sur les marchés mondiaux des changes, renforçant ainsi le yen.

Il a toutefois noté que la stratégie actuelle du G7 semble viser à convaincre les marchés que l’écart de taux d’intérêt va se réduire avec le temps, ce qui, selon lui, conduira à l’achat de yens et à la vente d’autres devises.

Le cœur de l’argumentation de Hayes réside dans la disparité entre le taux directeur de 0,1 % de la BoJ et les taux de 4 à 5 % des autres banques centrales du G7. Il soutient que ce différentiel détermine fondamentalement les taux de change.

Nouveaux sommets

Hayes considère ces conditions comme un catalyseur pour le marché de la cryptographie. Il a indiqué qu'il réorientait ses propres investissements des pièces stables vers des « shitcoins à haute conviction », bien qu'il envisage de révéler des jetons spécifiques seulement après avoir sécurisé ses positions.

Il a également exhorté les projets de son portefeuille Maelstrom à procéder sans délai au lancement de jetons.

En réfléchissant aux tendances historiques, Hayes a noté que les actions traditionnelles et le Bitcoin ont historiquement augmenté pendant les périodes de faibles taux d’intérêt.

Il a souligné la hausse spectaculaire du Bitcoin, passant de moins de 4 000 dollars à 64 000 dollars entre mars 2020 et avril 2021, suite à la réduction drastique des taux par le gouvernement fédéral à 0,25 %.

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