Fidelity Investments Secures Revenue-Sharing Deals With ETF Managers

TheNewsCrypto · 2024-06-08T22:53:03.000Z

Investment managers and investors may see changes to their cost structures. The purpose of this charge is to defray Fidelity’s expenses related to service operations. A number of exchange-traded fund (ETF) managers have just signed new revenue-sharing agreements with Fidelity Investments, marking a major step forward for the ETF industry. This move is part of Fidelity’s aim to strengthen its position in this competitive sector and comes at a time when investor interest in ETFs is on the rise. Investment managers and investors may see changes to their cost structures as a result of the agreements’ focus on improving Fidelity’s brokerage platform. Aims to Defray Expenses Moreover, the crypto sector is abuzz over Fidelity’s recent efforts to forge revenue-sharing arrangements with ETF managers. In reaction to Fidelity’s proposed service charge, nine ETF providers came up with these agreements. Furthermore, investors may be hit with a fee of up to $100, or 5% of their purchasing position, if managers choose not to participate in the revenue-sharing agreement. Also, the purpose of this charge is to defray Fidelity’s expenses related to service operations and technological updates. The scenario has been characterized as a “big undertaking” by David Young, CEO of Regents Park Funds, who recently made the statement that the necessity to balance platform maintenance expenses drove Fidelity’s decision to explore revenue-sharing. The avoidance of the exorbitant service fees was the primary motivation for Young’s business to join the arrangement. Notably, the exchange-traded fund (ETF) industry has expanded fast, requiring new strategies for platforms like Fidelity to handle the flood of ETFs. Revenue sharing is nothing new in the thriving ETF industry, according to experts. This is in contrast to the more established field of wealth management. Highlighted Crypto News Today: Norwegian Authorities Recover $5.7M from $600M Ronin Hack

Les gestionnaires de placements et les investisseurs peuvent constater des changements dans leurs structures de coûts.
Le but de ces frais est de couvrir les dépenses de Fidelity liées aux opérations de service.
Un certain nombre de gestionnaires de fonds négociés en bourse (ETF) viennent de signer de nouveaux accords de partage de revenus avec Fidelity Investments, marquant une avancée majeure pour le secteur des ETF. Cette décision s’inscrit dans le cadre de l’objectif de Fidelity de renforcer sa position dans ce secteur concurrentiel et intervient à un moment où l’intérêt des investisseurs pour les ETF est croissant.
Les gestionnaires de placements et les investisseurs pourraient constater des changements dans leurs structures de coûts en raison de l’accent mis par les accords sur l’amélioration de la plateforme de courtage de Fidelity.
Vise à couvrir les dépenses
De plus, le secteur de la cryptographie est en effervescence face aux efforts récents de Fidelity pour conclure des accords de partage des revenus avec les gestionnaires d’ETF. En réaction aux frais de service proposés par Fidelity, neuf fournisseurs d’ETF ont conclu ces accords.
En outre, les investisseurs peuvent se voir imposer des frais allant jusqu'à 100 $, soit 5 % de leur position d'achat, si les gestionnaires choisissent de ne pas participer à l'accord de partage des revenus. De plus, le but de ces frais est de couvrir les dépenses de Fidelity liées aux opérations de service et aux mises à jour technologiques.
Le scénario a été qualifié de « grande entreprise » par David Young, PDG de Regents Park Funds, qui a récemment déclaré que la nécessité d’équilibrer les dépenses de maintenance de la plate-forme avait motivé la décision de Fidelity d’explorer le partage des revenus. L’évitement des frais de service exorbitants a été la principale motivation qui a poussé l’entreprise de Young à rejoindre l’accord.
Notamment, le secteur des fonds négociés en bourse (ETF) s'est développé rapidement, nécessitant de nouvelles stratégies pour les plateformes comme Fidelity afin de gérer le flot d'ETF. Le partage des revenus n’a rien de nouveau dans le secteur florissant des ETF, selon les experts. Cela contraste avec le domaine plus établi de la gestion de patrimoine.
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