Shibarium, la solution de mise à l'échelle Ethereum Layer-2 soutenue par Shiba Inu, présente cependant des perspectives de croissance mitigées, avec une tendance à franchir bientôt une étape majeure. Selon les données de son explorateur dédié Shibariumscan, le protocole L2 envisage d'atteindre le cap de la production totale de 5 000 000 de blocs.
Les statistiques erratiques de Shibarium
Depuis sa création, Shibarium a maintenu un rythme de croissance constant dans tous les indicateurs clés, à l'exception du nombre irrégulier de transactions quotidiennes. Bien qu'il alimente l'un des écosystèmes Web3 les plus dynamiques, le nombre moyen de transactions quotidiennes a chuté d'au moins 1 million au quatrième trimestre 2023 à seulement 5 150 aujourd'hui.
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Malgré cette crise épique, la production de blocs reste stable. Au moment de la rédaction de cet article, un total de 4 900 607 blocs ont été produits sur Shibarium, ce qui ne laisse que 99 393 blocs pour atteindre le cap des 5 millions. Au rythme actuel, il y a de fortes chances qu'il atteigne ce record avant la fin de ce deuxième trimestre.
Un autre aperçu de données crucial sur Shibarium concerne le total des transactions et les caractéristiques de l'adresse du portefeuille. Alors que le nombre total de transactions s'élève à 417 549 926, le nombre d'adresses de portefeuille est fixé à 1 803 996. Ces données montrent que Shibarium prospère au sein de son propre écosystème de dApps.
Booster Shibarium avec ShibaSwap
Depuis sa création en août 2023, Shibarium a tracé sa trajectoire de croissance de manière essentiellement organique. Cela est sur le point de changer puisque le protocole a accueilli ShibaSwap, son échange décentralisé dominant (DEX).
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En tant qu'échange avec de nombreux visiteurs uniques, on s'attend à ce qu'à long terme, ShibaSwap puisse contribuer au rebond des transactions et attirer de nouveaux utilisateurs dans l'écosystème Shibarium.
Alors que l'écosystème Ethereum L2 enregistre une concurrence intense, Shibarium envisage de concourir à la suite de son dernier événement hard fork sur le réseau principal. Avec une vitesse plus rapide, un coût du gaz prévisible et un débit de transaction, atteindre l’étape prévue semble inévitable.
