Les 20 % des revenus les plus riches représentent désormais 40 % des dépenses de consommation aux États-Unis.

Pendant ce temps, les 20 % de consommateurs les plus pauvres ne représentent désormais que 9 % des dépenses de consommation.

Même si l’on combine les 40 % des revenus les plus bas aux États-Unis, ils ne représentent que 22 % des dépenses de consommation, contre 61 % pour les 40 % les plus riches.

Avec une inflation supérieure à 3 % pendant 37 mois consécutifs, l’écart de richesse s’est creusé.

Les personnes appartenant aux quartiles de revenus les plus élevés ont dépassé l’inflation grâce aux prix de l’immobilier et des actions.

Tout le monde a été laissé pour compte