Les autorités indiennes ont fermement rejeté l'appel de Binance à changer de crypto-monnaie pour réparer les offres à l'intérieur du pays. Ce choix d'entreprise souligne la détermination de l'Inde à imposer des directives anti-blanchiment d'argent. Cependant, après avoir payé des taxes et des pénalités, Binance a souhaité recommencer à proposer des offres après les gains. Pourtant, cette fois, il n’avait plus l’intention de déposer des poursuites judiciaires en vertu des exigences de la PMLA et de la CRF du pays. Le gouvernement indien a souligné la nécessité d’une mise en œuvre complète comme n’étant rien d’autre qu’une condition préalable obligatoire à une discussion similaire. Les responsables ont refusé des concessions malgré le fait que Binance ait plaidé pour du temps pour mettre en place les processus de conformité de la PMLA et de la CRF. Pour contourner l'interdiction, les autorités ont collaboré avec les banques pour formuler des stratégies permettant aux investisseurs d'accéder illégalement à Binance en utilisant des réseaux numériques privés. Auparavant, l'Inde avait interdit Binance ainsi que 8 bourses de crypto-monnaie différentes, faute de s'être inscrite auprès de la CRF. Par la suite, les autorités ont supprimé les applications Forex des magasins de logiciels et bloqué l'accès à leurs sites Web. Les échanges comprennent Binance, Bittrex, Kucoin, Huobi, MEXC Global, Kraken, Bitstamp, Gate.io et Bitfinex. Cette amélioration indique l'objectif de l'Inde de mettre en œuvre des lignes directrices et de garantir le commerce des crypto-monnaies en toute conformité. Il reste à voir si Binance peut réellement répondre aux exigences de réparation des offres. Pendant ce temps, les autorités continuent de suivre les systèmes interdits pour éliminer toute utilisation illégale.#Write2Earn #TrendingTopic #BTC #ETH