Le token LUNC, autrefois une cryptomonnaie prometteuse, a été frappé par une offre stupéfiante de 6 500 000 000 000 de tokens. Ce nombre astronomique a conduit à un prix dérisoire de 0,0001189 USD par token, laissant aux détenteurs un retour sur investissement dérisoire.
Malgré cela, les détenteurs n'ont pas été disposés à sacrifier ne serait-ce qu'une infime fraction de leurs avoirs pour revitaliser le jeton. Leur cupidité et leur réticence à coopérer ont conduit à une impasse, le prix du jeton étant bloqué dans les limbes.
APPEL À L'ACTION : BRÛLEZ 10 % DE VOS AVOIRS CHAQUE MOIS
Dans un dernier effort pour sauver le token LUNC, une proposition a été avancée pour réduire l'offre de tokens à 650 000 000. Ce plan ambitieux exige que les détenteurs brûlent 10 % de leurs avoirs chaque mois, un sacrifice qui semble trop demander aux détenteurs avides.
LES MATHS DERRIÈRE LA BRÛLURE : UNE SOMBRE RÉALITÉ
En supposant que les détenteurs acceptent miraculeusement de participer, les calculs suggèrent qu'il faudra environ 27 à 30 mois (2,25 à 2,5 ans) pour atteindre l'offre cible. C'est une triste réalité, compte tenu de l'état actuel du jeton.
CAPITALISATION BOURSIÈRE : UNE DÉMONSTRATION PATHÉTIQUE DE CUPIDITÉ
La capitalisation boursière actuelle de LUNC s'élève à environ 773 085 000 USD, une somme dérisoire compte tenu du potentiel du token. La capitalisation boursière cible, en supposant un prix de 1 $ par token, serait d'environ 650 000 000 USD. Cela représente une augmentation significative, mais qui semble peu probable compte tenu de la réticence des détenteurs à coopérer.
CONCLUSION : UN DERNIER APPEL AUX DÉTENTEURS CUPIDES
La destruction du token LUNC est une tentative désespérée de relancer une cryptomonnaie en voie de disparition. Les détenteurs doivent mettre de côté leur cupidité et coopérer pour réduire l'offre de tokens. Le calcul est clair, les avantages sont évidents, mais la question demeure : les détenteurs placeront-ils le succès du token au-dessus de leurs propres intérêts égoïstes ? Seul le temps nous le dira.