1. L'adresse classée 30e sur la liste des riches en bitcoins a transféré 11 999 BTC, soit environ 1,19 milliard de dollars.

La surveillance du mempool indique que l'adresse classée 30e sur la liste des riches en bitcoins (commençant par 3DR2iG) a transféré aujourd'hui à 12h08 (UTC+8) 11 999 BTC (environ 1,19 milliard de dollars) vers les adresses commençant par 31wXuL et 36ehBh. Actuellement, cette adresse détient encore 15 357 BTC (environ 1,506 milliard de dollars).

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2. Vitalik fait don de 10 millions de bahts thaïs au zoo de Khao Kheow en Thaïlande et adopte MOODENG pendant deux ans.

L'administrateur de MOODENG au zoo de Khao Kheow en Thaïlande a tweeté que le fondateur d'Ethereum, Vitalik, a fait un don de 10 millions de bahts thaïs (équivalent à 2,133 millions de RMB, 292 230 dollars) et a adopté MOODENG et sa famille pendant deux ans. Ce don sera effectué en deux fois, la première donation devant être complétée le 26 décembre 2024, et la seconde donation sera annoncée dans un an.

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3. Classement mondial des technologies blockchain : Singapour, Hong Kong, Estonie aux trois premières places.

La dernière étude du protocole ApeX montre que Singapour est classé premier mondialement dans le domaine de la technologie blockchain, avec un score global de 85,4. Le pays possède 1 600 brevets blockchain, 2 433 postes liés et 81 plateformes d'échange de cryptomonnaies, affichant des performances remarquables. Hong Kong se classe deuxième avec un score de 82,7, favorisant l'intégration des technologies blockchain grâce à une infrastructure financière solide. L'Estonie suit de près avec un score de 81,5, malgré une population de seulement 1,4 million, avec 95 brevets blockchain et 52 plateformes d'échange.

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4. Le gouvernement japonais répond officiellement au plan de réserves en bitcoins : la volatilité des actifs cryptographiques ne correspond pas au système actuel de réserves de change.

Cette réponse écrite a été publiée au nom du Premier ministre Shiohira Nobuaki, clarifiant la position du gouvernement sur la possibilité de détenir des actifs cryptographiques en tant que réserves. La réponse indique que le Japon n'a actuellement pas connaissance des mouvements des États-Unis et d'autres pays concernant le lancement de réserves en bitcoins, car ces plans sont encore en phase de discussion, "il est difficile pour le gouvernement d'exprimer son opinion". De plus, selon le cadre juridique des opérations de comptes spéciaux, "les actifs cryptographiques ne relèvent pas de la catégorie des devises, etc.", les réserves de change actuelles visent à stabiliser le marché des actifs et des obligations en devises. La réponse souligne à plusieurs reprises que la gestion des comptes spéciaux place la sécurité et la liquidité des réserves de change en première position. Cela indique que le gouvernement reconnaît que la volatilité des actifs cryptographiques, y compris le bitcoin (fluctuation des prix), est incompatible avec le système actuel. La réponse officielle du Premier ministre Shiohira réaffirme que, alors que les discussions nationales et internationales sur l'intégration des actifs cryptographiques dans la stratégie de réserve nationale progressent, le gouvernement japonais reste prudent.

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5. La Corée du Sud impose des sanctions à plusieurs hackers nord-coréens en raison de leur implication dans le vol de cryptomonnaies et d'autres activités de réseau illégales.

Le gouvernement sud-coréen impose des sanctions à 15 individus nord-coréens et une entité en raison de leur implication dans des activités de réseau illégales, y compris le vol de cryptomonnaies. Selon les données de Chainalysis, des hackers nord-coréens ont volé des cryptomonnaies d'une valeur de 1,34 milliard de dollars en 2024, représentant 61 % du total volé cette année-là. Ces cibles de sanctions sont toutes des membres du Bureau 313, rattaché au ministère de l'Industrie mécanique du Parti du travail nord-coréen. Le ministère des Affaires étrangères de Corée du Sud a déclaré que le personnel informatique nord-coréen se déguise souvent pour se rendre en Chine, en Russie, en Asie du Sud-Est et en Afrique, afin d'obtenir des commandes de travail auprès d'entreprises informatiques mondiales tout en participant au vol d'informations et aux cyberattaques.

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