• Le dépositaire de cryptomonnaies basé au Royaume-Uni change son attention loin du cadre réglementaire britannique.

  • L'entreprise vise à obtenir des licences d'exploitation aux États-Unis, à Hong Kong, en Suisse et à Abu Dhabi pour une croissance plus large.

  • Le nouveau PDG Amar Kuchinad est à la tête du pivot de Copper vers les marchés internationaux, ciblant des juridictions de cryptomonnaies favorables.

Le dépositaire de cryptomonnaies Copper Technologies, basé au Royaume-Uni, a officiellement retiré l'enregistrement FCA qu'il avait soumis précédemment, se concentrant sur le développement international selon un rapport de Bloomberg. Cela fait suite à la nomination d'Amar Kuchinad en tant que nouveau directeur général pour diriger l'entreprise en octobre.

Kuchinad, qui a succédé à Dmitry Tokarev au poste de PDG, a déclaré qu'il se concentrerait sur le perfectionnement du modèle de croissance de Copper et l'expansion de la portée du marché de l'entreprise à l'échelle mondiale. En ce qui concerne la réglementation, l'entreprise a l'intention d'obtenir des licences dans des juridictions amicales telles que les États-Unis et Abu Dhabi. Une des entreprises basées à New York, Kuchinad a souligné que l'entreprise souhaite également s'établir dans des zones avec un bon environnement réglementaire.

Concentrez-vous sur les licences aux États-Unis et à l'international

Sous la direction de Kuchinad, Copper Technologies s'intéresse particulièrement à entrer sur le marché américain. L'entreprise prévoit de demander des licences de dépositaire et de transmetteur de fonds, compte tenu du potentiel d'un environnement réglementaire plus favorable aux cryptomonnaies. Selon Kuchinad, ce changement s'aligne avec la stratégie plus large de l'entreprise visant à capitaliser sur les régions où la réglementation des cryptomonnaies est plus claire et plus favorable.

Copper vise également à obtenir des licences dans d'autres juridictions importantes pour l'activité cryptographique, telles que Hong Kong, qui a introduit des réglementations pour attirer les entreprises de cryptographie mondiales, et la Suisse, pour ses politiques favorables aux cryptomonnaies. Abu Dhabi reste également dans le viseur de Copper en raison de sa réputation croissante en matière d'innovation blockchain et de clarté réglementaire.

Histoire de Copper et défis de la FCA

Établie en 2018, avec Philip Hammond comme président, Copper Technologies est l'un des principaux dépositaires de cryptomonnaies au Royaume-Uni. Cependant, l'entreprise a rencontré des problèmes avec la FCA et n'a pas réussi à obtenir d'enregistrement permanent lorsque le régulateur a actualisé la liste des actifs cryptographiques en 2022. Cette difficulté a été attribuée aux exigences strictes de la FCA et à l'évolution du paysage réglementaire au Royaume-Uni.

Les récentes initiatives de la FCA incluent des réglementations proposées qui pourraient encore contraindre le développement de l'industrie de la cryptographie dans le pays. Ces mesures impliquent des restrictions potentielles sur la cryptomonnaie publique menée par des plateformes de trading établies. La décision de Copper de changer de cap s'aligne avec son objectif de réduire les risques associés à l'environnement réglementaire restrictif du Royaume-Uni.

Le retrait stratégique de Copper du marché britannique souligne son attention à sécuriser des opportunités dans des régions avec des cadres réglementaires plus clairs. Alors que l'entreprise pivote vers une croissance internationale, son approche reflète la tendance plus large des entreprises de cryptographie, cherchant ainsi des juridictions favorables pour soutenir leurs opérations et innovations.

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