Les poursuites judiciaires engagées par Elon Musk contre la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis ont suscité de nombreuses critiques de la part de personnalités politiques et économiques. Parmi les critiques figuraient Stuart Alderotti, directeur juridique de Ripple, l'entrepreneur Chamath Palihapitiya et le politicien Vivek Ramaswamy, qui ont exprimé leurs inquiétudes quant aux tactiques d'application de l'autorité.
⚙️ Musk a récemment posté sur sa plateforme La lettre expliquait que l'autorité avait adressé un dernier avertissement à Musk concernant le règlement dans les 48 heures et l'avait menacé d'amendes ou d'accusations. Même la récente enquête ouverte par la Commission sur Neuralink et la convocation de Spiro ont fait l'objet de menaces coercitives.
💬 Palihapitiya a critiqué l'utilisation inefficace des ressources de l'État par la JSC et a déclaré :
«C'est déraisonnable. Pourquoi la Securities Commission pense-t-elle qu’elle peut continuer à gaspiller les ressources de l’État (c’est-à-dire notre argent) sans en tirer aucun bénéfice ?!! »
Il a averti que le manque de surveillance et de contrôle pousse les bureaucrates à utiliser les lois comme un outil pour faire obstacle à ceux qui ne sont pas d'accord avec elles.
🗣 Ramaswamy a critiqué l'autorité en affirmant qu'elle sape la confiance du public, et a ajouté :
« Ce qui est pire, c’est que la Commission perd constamment ses procès devant les tribunaux fédéraux parce qu’elle déforme ses lois de manière illégale et inconstitutionnelle. »
Il a souligné que ce type de comportement affaiblit la confiance dans l’État de droit.
⚖️ Alderoti s'est joint à la discussion et a mentionné les méthodes que Ripple a révélées très tôt concernant les tactiques de l'organisation. Il a cité la déclaration du tribunal dans leur affaire :
« La Commission des valeurs mobilières adopte ses positions juridiques uniquement pour atteindre ses propres objectifs et non en violation de la loi.
Il a souligné l'importance de tenir l'Autorité responsable de ses actes.
🔄 Dans le même temps, on s'attend à un changement majeur au sein de la Commission des valeurs mobilières, Gary Gensler se préparant à quitter son poste de président. Gensler, connu pour sa position ferme sur la réglementation de la cryptographie, quittera ses fonctions en janvier 2025. Le président élu Trump a nommé Paul Atkins, ancien commissaire de l'agence et défenseur d'une réglementation moins stricte, en particulier dans le secteur de la cryptographie. Si sa nomination est confirmée par le Sénat, ce changement pourrait remodeler l'approche et les priorités de l'instance.
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