Au lieu de penser à comment et à comment, mieux vaut penser à comment éviter les risques, gérer les risques, transférer les risques.
En regardant le passé, tout allait bien en général, c'est juste lors des effondrements soudains que c'était désagréable. En temps normal, on gagne, mais pendant ces quelques jours de chute, on revient à la case départ en une nuit. Tant que l'on arrive à vivre confortablement pendant les moments de chute, on vivra naturellement bien par la suite.
Il n'est pas nécessaire de réfléchir à la question de savoir s'il y a des opportunités, combien d'opportunités il y a, il suffit de se demander ce que je peux faire lorsque l'opportunité se présente, ce que je dois faire, comment je dois collaborer pour compenser les pertes et combler les manques, rien de plus, tout le reste est secondaire.