"SECONDE"

Ces dernières heures, « Teresa » s’est imposée comme l’une des principales candidates à la présidence de l’instance.

Selon un rapport de CoinDesk, le président élu Donald Trump envisage sérieusement de la nommer pour succéder à l'actuel président de la CMA, Gary Gensler, qui, selon les rumeurs, quitterait ses fonctions d'ici Thanksgiving.

Cette évolution a suscité des attentes positives au sein du secteur des cryptomonnaies, qui, sous la présidence de Gensler, a été témoin d'une attitude hostile à l'égard des monnaies numériques.

On s'attend à ce que la nomination de Teresa représente un changement majeur dans la politique des autorités, d'autant plus que Trump se prépare à prendre ses fonctions en janvier 2025.

Theresa possède une vaste expérience en matière de réglementation des valeurs mobilières et de soutien à la blockchain, ayant été avocate au bureau du directeur juridique de la SEC de 2009 à 2011.

Elle a ensuite occupé un poste de direction chez Kalorama Partners, où elle a conseillé des clients sur des questions liées aux lois sur les valeurs mobilières.

Actuellement, Teresa dirige la pratique blockchain chez BakerHostetler, ce qui lui a valu un soutien important de la part des sociétés de cryptographie, qui la considèrent comme une défenseure capable d'apporter des changements positifs dans la politique réglementaire.

Que signifie ce changement pour l’industrie ?

S'il est confirmé, le leadership de Teresa pourrait représenter une opportunité historique de remodeler la relation entre le secteur des cryptomonnaies et la SEC, grâce à une approche plus ouverte et plus flexible des monnaies numériques.

Cette prochaine nomination pourrait ouvrir de nouveaux horizons pour renforcer l’innovation et réduire les tensions entre les régulateurs et les investisseurs dans ce domaine.

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