Le président élu Donald Trump fait sa première grande nomination—mais ce n'est pas le président de la SEC, est apparu en premier sur Coinpedia Fintech News
Le président élu Donald Trump a fait sa première grande nomination pour son deuxième mandat, en nommant Susie Wiles comme chef de cabinet de la Maison Blanche. Wiles, qui a été une figure clé des campagnes de Trump en 2016 et 2020, est la première femme à occuper ce poste. Sa nomination marque une étape significative alors que Trump commence à organiser son équipe pour sa présidence à venir.
La nomination de Wiles suscite déjà des réactions à travers le spectre politique. Alors qu'elle prend le contrôle du personnel pour le deuxième mandat de Trump, tous les yeux seront rivés sur elle pour voir comment elle relève le défi de maintenir l'unité politique dans une nation profondément divisée. Son histoire de collaboration avec Trump et des figures majeures de Floride lui confère une perspective unique sur la politique américaine, et beaucoup regardent pour voir comment ses stratégies évolueront à la Maison Blanche.
Un premier historique
Le rôle de Wiles en tant que première femme à servir comme chef de cabinet est un jalon dans l'histoire politique des États-Unis. Sa nomination signale la montée en puissance des femmes dans des rôles de leadership politique, même dans des postes traditionnellement dominés par les hommes comme celui-ci. En tant que première femme à occuper ce rôle, elle fait face à de grandes attentes alors qu'elle travaille aux côtés du président Trump pour tenir les promesses faites durant sa campagne.
Alors que le président élu Trump se prépare à prendre ses fonctions pour son deuxième mandat, Wiles jouera un rôle crucial dans l'orientation de son administration. Avec son expérience politique approfondie et ses racines profondes dans la politique de Floride, elle est bien placée pour gérer la Maison Blanche durant une période de défis nationaux et internationaux significatifs.
Conclusion
En plus des décisions concernant le personnel, Trump priorise également une répression de l'immigration illégale. Des sources rapportent que l'une de ses premières actions en fonction sera de mettre en œuvre sa promesse de lancer la plus grande opération de déportation de masse de l'histoire des États-Unis. Déporter un immigrant en situation irrégulière coûte généralement près de 11 000 dollars, et un groupe de défense estime qu'une opération de déportation à l'échelle nationale pourrait coûter jusqu'à 315 milliards de dollars.