Et si « Satoshi Nakamoto », le mystérieux créateur du Bitcoin, n’était pas un génie du codage ou un groupe de hackers, mais en réalité le gouvernement ? Imaginez-vous : au début des années 2000, un gouvernement puissant, voyant les fissures dans le système financier mondial et sentant une crise économique massive se profiler à l’horizon, décide en secret de créer un nouveau type de monnaie. Il invente une monnaie numérique décentralisée qui pourrait résoudre les problèmes du système bancaire traditionnel. Mais le problème, c’est qu’il ne veut pas que les gens sachent que c’est lui qui est derrière tout ça.

Ils créent donc une fausse identité – « #SatoshiNakamoto » – et publient en 2008 le livre blanc du Bitcoin. Tout cela déclenche une révolution. Les gens commencent à l’adopter, croyant qu’il s’agit d’une sorte d’alternative anti-gouvernementale et anti-bancaire. Mais ils ne savent pas que le gouvernement reste assis à regarder tout ce qui se passe, laissant le Bitcoin se développer tout seul.

Quelques années plus tard, le phénomène est mondial. Les gens abandonnent les banques, les entreprises acceptent les paiements en Bitcoin et le bitcoin est échangé partout. Pendant ce temps, le gouvernement a une réserve secrète de bitcoins dans des portefeuilles anonymes, qui n’attendent que ça. Leur plan ? Au moment opportun, ils utiliseront cette énorme réserve de bitcoins pour influencer l’économie mondiale, voire contrôler l’ensemble du système financier. Le bitcoin pourrait devenir la nouvelle norme, remplaçant les monnaies traditionnelles – de l’argent soutenu par les gouvernements – mais ironiquement, contrôlé par un seul Etat depuis toujours.

Mais voilà le hic : le Bitcoin, symbole de liberté financière, pourrait en réalité être un outil de contrôle caché. Et si le gouvernement traquait chaque transaction, collectait des données pour surveiller notre comportement, et que nous étions tous en train de jouer leur jeu ?

Si « Satoshi Nakamoto » est le gouvernement, à quel point sommes-nous vraiment libres ?