Récemment, Chainlink, la plateforme de services web3, a collaboré avec ANZ et ADDX pour travailler sur le projet Guardian de l’Autorité monétaire de Singapour (MAS). Ce projet visera à améliorer les transactions inter-chaînes d’actifs du monde réel et à explorer l’interopérabilité entre les blockchains privées
.@ChainlinkLabs s'associe officiellement à ANZ, une banque australienne de premier plan avec plus de 1 000 milliards de dollars australiens d'actifs sous gestion, dans le cadre du projet Guardian de l'Autorité monétaire de Singapour. Le CCIP#Chainlinkcontribuera à permettre l'échange inter-chaînes sécurisé de RWA tokenisés. https://t.co/nlXJPJKjDv
— Chainlink (@chainlink) 30 septembre 2024
Chainlink est la plateforme de services Web3 qui a permis de générer des milliards de dollars de transactions dans divers secteurs vitaux, notamment la finance décentralisée, les assurances, les jeux de hasard et les jetons non fongibles. Chainlink est le principal réseau d'oracles décentralisés et permet aux développeurs de créer des applications Web3 riches en fonctionnalités qui ont un accès transparent aux données du monde réel et au calcul hors chaîne sur n'importe quelle blockchain. De plus, il aide les organisations mondiales en fournissant une passerelle commune à toutes les blockchains.
À propos de Project Guardian et de la banque ANZ
Australia and New Zealand Banking Group Limited, plus souvent connu sous le nom d'ANZ, est une société multinationale de services financiers et bancaires qui exerce des opérations dans divers domaines partout dans le monde.
Avec l'aide de Chainlink Labs et d'ADDX, ANZ étudiera la possibilité que des blockchains privées communiquent entre elles pour échanger des versions tokenisées d'actifs physiques comme du papier commercial.
« Les actifs tokenisés et les services associés développés sur différentes blockchains ne sont pas nativement interopérables », a déclaré Nigel Dobson, responsable des services bancaires chez ANZ.
Bien que cela complique l’intégration pour les institutions financières, cela a également le potentiel de réduire l’adoption des actifs tokenisés.
M. Dobson a exprimé l’enthousiasme de son entreprise à l’idée de rejoindre Project Guardian, ses futures capacités en matière d’actifs numériques, telles que A$DC, et la manière dont elles peuvent aider les clients à déplacer des produits et des capitaux dans la région.
Objectifs du projet Guardian
Project Guardian utilise le modèle à quatre niveaux pour expliquer les différentes parties technologiques d’un réseau d’actifs numériques. Le modèle de référence est nécessaire pour mettre en perspective les interactions entre les nombreuses couches de solutions d’actifs numériques. Des entités distinctes pourraient être responsables de la gouvernance et de la mise en œuvre de chaque couche.
Accéder
La manière dont les emprunteurs, les investisseurs et les émetteurs utilisent diverses interfaces de garde et de non-garde pour obtenir un accès direct ou indirect à la suite de services est définie au niveau de la couche d'accès.
Service
Divers actifs numériques peuvent interagir avec des services, notamment les prêts, les emprunts, les paiements, les changes et les échanges construits via des contrats intelligents.
Actifs
Tous les actifs sont enregistrés dans la couche d'actifs. « Émission native » décrit les actifs nés et hébergés sur une certaine plateforme. Le terme « actif tokenisé » décrit les actifs déjà tokenisés et représentés sur une plateforme ; en règle générale, un dépositaire serait responsable de la conservation de ces actifs sécurisés par les jetons à tout moment.
Plate-forme
Au niveau de la plateforme, vous trouverez les systèmes qui vous permettent d’enregistrer la propriété des actifs numériques et d’effectuer des transactions de services. En supposant sa programmabilité et sa flexibilité, la plateforme peut accueillir divers actifs numériques, tels que des titres tokenisés et de l’argent des banques centrales. Des technologies autres que la blockchain peuvent être utilisées pour construire la plateforme.
