DERNIÈRES NOUVELLES #TelegramCEO #detentiomextendedto96 heures.
Dans un communiqué du 27 août, le ministère des Affaires étrangères des Émirats arabes unis (MoFA) a révélé que le gouvernement des Émirats arabes unis surveillait de près la situation de son citoyen Pavel Durov, fondateur de Telegram. Le ministère des Affaires étrangères des Émirats arabes unis a également soumis une demande au gouvernement français pour fournir à Durov tous les services consulaires nécessaires. L’assistance consulaire aidera le PDG de Telegram à obtenir immédiatement une aide juridique et autre dans cette affaire, permettant une libération anticipée de la garde à vue. « Les Émirats arabes unis suivent de près le cas de leur citoyen Pavel Durov, fondateur de Telegram, qui a été arrêté par les autorités françaises à l’aéroport de Paris-Le Bourget, soulignant que les Émirats arabes unis ont soumis une demande au gouvernement de la République française pour lui fournir tous les services consulaires nécessaires de manière urgente. » Le MoFA a également précisé que donner la priorité au bien-être des citoyens des Émirats arabes unis, leur fournir tous les aspects de l’assistance et sauvegarder leurs intérêts est une priorité essentielle pour les Émirats arabes unis. Un législateur russe blâme Biden pour l’arrestation de Durov L’arrestation de Pavel Durov a déclenché un tollé international et des débats sur le contrôle de la liberté d’expression et l’autoritarisme. Des dirigeants de l’industrie technologique, des célébrités et des personnalités politiques se sont opposés à l’arrestation. Pendant ce temps, l’un des principaux alliés du président russe Vladimir Poutine a allégué que l’administration Biden était derrière l’arrestation, a rapporté Reuters. Viatcheslav Volodine, président de la Douma d'État russe, la chambre basse du parlement, a déclaré que les États-Unis tentaient d'exercer un contrôle sur Telegram via la France. Le président français Emmanuel Macron a déclaré plus tôt que l'arrestation du PDG de Telegram, Pavel Durov, s'était produite dans le cadre d'une enquête judiciaire en cours. Il a ajouté que « ce n'est en aucun cas une décision politique ». La détention a été prolongée à 96 heures, le Tribunal judiciaire de Paris ayant prononcé 12 chefs d'accusation. Les infractions présumées comprennent la fraude, le trafic de drogue, la cyberintimidation, le crime organisé et la promotion du terrorisme.