L'ancien président russe Dmitri Medvedev a frappé juste lorsqu'il a souligné l'erreur de jugement stratégique du fondateur de Telegram, Pavel Durov : sa décision de fuir la Russie a en fait manqué la clé pour danser harmonieusement avec le système de sécurité mondial. Il a rappelé avec tendresse les échanges passés avec Durov, révélant son regret que Durov n'ait pas prévu l'importance de la coopération, affirmant : « Échapper aux non-solutions et refuser de coopérer, peu importe où vous êtes, les difficultés finiront par vous suivre. »
Medvedev a même carrément averti qu'il avait lancé un avertissement précoce à Durov il y a de nombreuses années : « Refuser de s'intégrer, c'est déclarer la guerre à un défi mondial. Le rêve de Durov d'être un "citoyen du monde » est de se libérer des frontières nationales. Aux yeux de Medvedev, c'est devenu un malentendu et une fuite de la réalité. Il a fait une analyse approfondie : « En tant que fils de la Russie, le nom de Durov est marqué des étiquettes d'« imprévisible » et de « menace potentielle ». C'est la réalité impuissante donnée par l'identité.
Medvedev, en sa qualité de vice-président du Conseil de sécurité russe, a réitéré une vérité qui ne peut être ignorée : « La patrie n'est pas une option, mais l'intersection de notre destin commun. » Il a en outre précisé que la poursuite de la liberté au-delà des frontières nationales. L’idéal de liberté, bien que tentant mais illusoire, ne peut finalement pas résister au torrent de la réalité.
Enfin, Medvedev, en homme sage, a éclairé l'avenir de Durov : « Face aux changements de l'environnement extérieur, nous ne pouvons qu'affronter la réalité et avoir le courage d'assumer les responsabilités et les défis d'être Russes. nous trouvons la véritable issue. » Ces paroles ne sont pas seulement une profonde préoccupation pour Durov, mais aussi un avertissement sincère à tous ceux qui recherchent la liberté et les rêves.