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Effondrement : la fin imminente du régime de Poutine

L’économie russe implose, menaçant l’emprise de Vladimir Poutine sur le pouvoir.
Sa stratégie keynésienne pour contrer les sanctions occidentales – basée sur des dépenses subventionnées et des taux d’intérêt artificiellement bas – s’est retournée contre lui de manière catastrophique, plongeant le pays dans un cycle d’expansion et de récession entrant désormais dans sa phase la plus dévastatrice.

Le marché immobilier, soutenu par des prêts hypothécaires subventionnés par l’État à des taux aussi bas que 7 % (malgré une inflation réelle estimée à 27 % par le Dr Steve Hanke), s’effondre.
La dette hypothécaire a grimpé à plus de 40 % des portefeuilles de prêts bancaires, tandis que la dette des ménages atteint un niveau record de 22 % du PIB.
Autrefois dominantes dans les transactions immobilières, les prêts hypothécaires ne représentent désormais plus que 20 % des ventes, dont 80 % sont des achats au comptant.
Les vendeurs baissent les prix jusqu'à 50 % et les prêts non performants explosent, menaçant de couler les banques régionales, qui détiennent 40 % du marché.
Les promoteurs, paralysés par la construction excessive pendant le boom, font défaut sur leurs obligations, entraînant des pertes généralisées dans le secteur de la construction.

👉Les effets d’entraînement sont dévastateurs.
📌La bourse russe a vu tous les secteurs chuter fortement, avec Gazprom en baisse de 16,7 %, Ozon de 23,7 % et RUSAL de 23,8 % en seulement un mois.
L’inflation est devenue incontrôlable, obligeant le coût des pommes de terre à augmenter de 80 % cette année seulement, et les prix des voitures devraient grimper de 20 % après le Nouvel An.
🤔Le rouble a perdu plus de 10 % de sa valeur à trois reprises en un seul mois, reflétant de profondes faiblesses structurelles.
‼️🚨01€ =113Roubles 🚨‼️

🔥Le budget national russe, calculé sur la base d’un prix du pétrole de 72 dollars le baril, est confronté à de graves difficultés à mesure que la production mondiale augmente et que les prix baissent.
Les experts prédisent que le rouble pourrait nécessiter une dévaluation de 22 à 35 % pour soutenir les dépenses publiques

Le soutien international est absent. La Chine, confrontée à ses propres difficultés économiques – notamment un taux de chômage des jeunes de 18 % et une crise de la dette immobilière – a une capacité limitée à aider la Russie.
🙏En outre, la Chine réalise plus de 60 % de ses échanges commerciaux avec les États-Unis et l’Europe, contre environ 2 % avec la Russie, et il est peu probable qu’elle risque des sanctions à l’encontre d’un allié marginal.

Le mécontentement du public augmente à mesure que l’économie s’effondre.
Le coût de la vie monte en flèche, les salaires stagnent et les licenciements se multiplient.
La promesse de stabilité économique du régime s’effondre, tout comme le contrat politique de Poutine avec son peuple.

Historiquement, l’effondrement économique a renversé les autocrates, et la trajectoire actuelle de la Russie reflète ces tendances. L’incapacité de Poutine à stabiliser l’économie ou à protéger les Russes ordinaires des difficultés érode sa légitimité auprès du public et des élites.

📌Avec un mécontentement croissant, une loyauté brisée de la part des oligarques et une chute libre de l’économie, la Russie est au bord d’un bouleversement politique.
L’effondrement du régime de Poutine n’est peut-être plus une perspective lointaine : il devient rapidement une réalité imminente, fragilisant ainsi durablement l'économie post Sovietique Russe .